C'était
une fois un coiffeur qui s'appelait Gus qui avait mal aux dents.
Alors il décida d'aller à la consultation du Docteur, le dentiste
le
plus célèbre. Quand il alla, chez le docteur. Gus fut frappé par
une voix impérative qui lui dit:
–
Au
suivant!, presque un cri martial.
La
plus grande surprise vint de l'aspect du docteur quand il fut visible
à Gus. On aurait dit un ours habillé en pardessus blanc. Gus
avança
mort de peur vers le siège déjà en position horizontale. Il prit
la canule à pomper la salive, la sonde double, le miroir et calibra
le travail à faire. Il lui annonça que la carie de la molaire 46
était fort avancée. Il prit les curettes et commença à en
extraire le tartre et la dentine ramollie par la carie. Après un
nettoyage à fond, il procéda au plombage. Quand il sortit, il le
regarda avec une expression bizarre. Quelques jours plus tard, le
téléphone du salon de coiffure sonna. C'était le docteur Stuart!
Il voulait se faire couper le cheveux et Gus lui donna rendez-vous
pour 18:00. Monsieur Stuart entra dans le salon. Gus lui demanda
gentiment de prendre sa place et commença à le couper les cheveux.
Comme cela se passe toujours dans les salons de coiffure, pour
entretenir son client, Gus s'intéressa à son client:
–
Ça
fait beaucoup de temps que vous ne venez pas par ici. Ça ne va pas?
–
Non,
j'ai beaucoup à faire. Après la consultation, je fais des
expérimentation. Mais je suis très pressé, voulez-vous vous
dépêcher?
–
Oui,
monsieur Stuart, je fais de mon mieux.
Quand
monsieur Stuart sortit, Gus pensa qu'il avait l'air bizarre et comme
il n'y avait plus des clients, Gus décida de le poursuivre, il ferma
le salon et le suivit.
Stuart
arriva chez soi et laissa, par distraction sans doute, la porte
ouverte. Gus profita pour entrer. C'était une énorme maison avec un
mobilier de luxe plutôt extravagant et qui paraissait très cher.
Gus vit un tableau pendu au mur et dans le tableau, même si ce put
paraître illogique ou bizarre, comme seule chose peinte, il y avait
une porte ouverte. Une vraie porte, pensa-t-il. Il l'essaya, la porte
céda, et il entra. Quelle ne serait sa surprise quand il vit
beaucoup des machines qui fonctionnaient à toute allure. Dans un
premier moment, il eut l'impression qu'il n'y avait personne à les
faire fonctionner. Il avança intimidé, lentement, silencieusement
et découvrit Stuart caché derrière une grande machine qui faisait
des bruits comme de gloussements.
Il
entendit à Stuart qu'il voulait détruire la ville. Gus sortit
rapidement de la maison et il fut très nerveux. Gus ne sut pas quoi
faire, ne savait pas s'il devait appeler à la police, il était très
nerveux. Trois jours après, pendant qu'il regardait la télévision,
il regarda un nouvelle d'une attaque dans la ville et il décida de
défendre la ville. Gus prit une couverture pour l'utiliser comme
cape, et aussi, il prit des ciseaux et des peignes pour les utiliser
comme armes. Gus arriva au centre et il vit Stuart monter dans une
machine très grande et, tout à coup, Gus le lança un peigne qui
n'atteignit pas le cible. Stuart commença à attaquer Gus, mais Gus
coupa un bras de la machine avec des ciseaux et, ensuite, il coupa
toutes ses extrémités.
–
Aux
armes ! Cria-t-il pour se donner de la force
Ils
commencèrent à lutter. Gus le bloqua Stuart et rapidement il prit
une corde et il l'attacha les mains. La police vinrent et il eurent
arrêter Stuart. La ville fut sauvée grâce a Gus. Le maire lui
remit la clef de la ville et Gus continua a défendre la ville.
Miguel
Gil Bermejo
No hay comentarios:
Publicar un comentario