jueves, 29 de mayo de 2014

L’imagination d’un enfant.



Après avoir passé la journée à chercher inutilement un cadeau, Sergio et sa mère rentrèrent chez eux découragés. Sergio monta à sa chambre et s’endormit aussitôt. Quand il se réveilla quelque temps après, il ne put retenir ses larmes. Sa mère, Julieta, entra, le prit dans son bras et le calma.
Ce n’est qu’un cauchemar, Sergio, calme-toi. Pense à de jolies choses, lui dit sa mère pour le tranquilliser.

 – Oui, maman, c’est ça, répondit-il et se retourna pour retrouver une place confortable au lit, et petit à petit, il se rendormit.
Julieta sortit de la chambre sans faire de bruit. Sergio, dans son rêve, racontait à sa mère le cauchemar qu’il avait eu:
"Je suis resté endormi et suis apparu au milieu d'un champ vert, plein de fleur jaunes qui n’étaient pas plus hautes qu’un pouce. J'ai couru à ta recherche Puis, comme tu n’étais pas là, j’ai cherché quelqu’un d’autre, mais je n’ai trouvé personne. Je me suis mis à jouer avec les fleurs pour ne pas penser que j’étais complètement seul là-bas. Après, quand je courais par le champ, je suis tombé dans un trou obscur et peu de secondes après je me suis retrouvé dans une maison très ordonnée, avec un tas de jouets au-dessus de la table du salon. Je les ai vus et me suis mis à jouer. C’est alors quand l’oncle Luis est entré dans la maison. Quand je l'ai vu, j'ai couru l’embrasser, subitement soulagé de ma solitude qui durait trop longtemps. Mon oncle m'a demandé:
-Comment es-tu arrivé si tôt, Sergio?
Je n'ai pas su quoi répondre. Tout à coup papa et toi, vous étiez entrés par la porte de derrière et j'ai couru vous embrasser, mais je n’ai pu rien dire. Alors, l’oncle Louis et toi maman, vous avez commencé à placer des globes par toute la maison alors que mon père fasait une tarte aux trois chocolats. Je suis allé à la cuisine, et pour la première fois dans beaucoup de temps, j'ai pu parler et demander à papa pourquoi ils faisaient tout cela et papa m’a répondu:
- Tu n’auras pas oublié encore une fois l’anniversaire de ta grand-mère Encarna?
Papa avait raison, j’oubliais toujours l’anniversaire de ma chère grand-mère. Peu de minutes après, les invités ont commencé à arriver. La maison très accueillante a commencé à se remplir des gens que je ne connaissais pas. Je suis sorti en courant et me suis mis au-dessous de la table du salon, à jouer avec les jouets, qui étaient maintenant en-dessous, pour m’éloigner des gens que je ne connaissais pas. Comme j’étais très fatigué à cause des courses et des émotions vécues, je me suis rendormi au-dessous de cette table…"
Sergio se réveilla en sursaut car sa mère lui appelait déjà très fort :
-Sergio! Réveille-toi! Regarde, qui est venu passer le jour avec nous!
Sergio se leva joyeux et, courant vers l’entrée, cria:
-Joyeux anniversaire grand-mère!

Le castor et l'usine de sucettes épicées





La lumière s'éteignit et seulement de temps en temps, la violente luminosité des éclairs rendait visible les objets de l’appartement à Fred. Il aperçu son parapluie, prit son manteau et s’en alla de l’appartement comme si l’appartement à lui seul ne pouvait supporter le ciel qui dégoulinait sur Terre. Il pleuvait beaucoup et les nuages couvraient le ciel complètement. Quand Fred est sorti il n’y avait personne dans les rues. Il était onze heures du soir.  Souffrant d'insomnie, il avait pris l'habitude de sortir se promener tous les nuits, pour dégoudir les jambes et les idées. Mais ce matin-là serait différent. Aussitôt qu'il sortit, Fred trouva un homme qui s'était perdu et qu’avait besoin de trouver une station-service. Fred était un gentil homme. Il avait 28 ans et il aimerait beaucoup connaître de nouveaux gens. Ernest, qui était le nom de l’inconnu, avait 63 ans et dans sa voiture l’attendait sa petite-fille Angélique, qui avait 5 ans. Comme il n'y avait pas de station-service en ville, tous les trois, Ernest, Angélique et Fred décidèrent d’aller à la ville d’à côté où certainement la station-service serait déjà ouverte. Il y avait une route pour aller là-bas, mais Fred connaissait un raccourci à travers la forêt qu’il avait fait d'innombrables fois à pied. Ils prirent en voiture le chemin de la forêt, quand tout à coup découvrirent que l’eau était montée et barrait le chemin. C’est alors qu’ils découvrirent sous le halo du phare, au loin,  un petit castor qui construisait son barrage. Le castor attiré par la lumière qui l’aveuglait, s’approcha deux, et comme si c’étaient tout à fait naturel d’entendre parler des castors avec une voix plutôt humaine et une langue compréhensible, le castor leur dit:  

Oh la, la, la, la, pas possible de traverser par ce côté-ci, messieurs. Suivez-moi, je vour indiquerez où vous pouvez passer la nuit, et demain vous retrouverez le chemin un peu plus loin.

Ce castor les guida jusqu'à une maison au milieu de la forêt. C'était une maison petite et accueillante, mais il n'y avait rien à manger. Comme Angélique avait faim, elle commença à chercher, ouvra les tiroirs, les ferma, regarda dans les placards et trouva à sa grande surprise, très bien organisés : du chocolat blanc, un peu de sucre, quelques bâtonnets et un ingrédient secret. À côté, un papier manuscrit, en lettre parfaitement compréhensible, une recette plutôt bizarre : sucettes épicées. Si étrange que cela puisse paraître, ils passèrent la nuit à fabriquer les sucettes qu’ils trouvèrent délicieuses car, à chacun, la sucette réveillait le souvenir de saveurs perdues de son enfance. Le jour venu, à travers la fenêtre, ils découvrirent le chemin que Fred connaissait bien. Il pensa sans rien commenter que pourtant il n’avait jamais découvert de maison dans ses promenades. Peut-être je ne l’avais pas aperçu, se dit-il. Avant de partir, Fred sans savoir pourquoi, garda la recette manuscrite dans la poche de son manteau et partit avec Angelica et Ernest, ses nouveaux amis, en quête de la station-service du village d’à côté. Les jours passèrent et il ne s’en souvint plus de l’incident jusqu’au jour où son patron lui informa qu’à cause de la crise économique qui fouettait le pays il était obligé de restreindre son contrat. Il partit, triste, les mains dans les poches et ses doigts touchèrent le papier. Il décida d'essayer de vendre les sucettes dans le ville.  Quand les citoyens du village goutèrent les sucettes épicées, de bouche à oreille, la nouvelle se répandit dans toute la région. Finalement, Fred pensa que la rencontre avec le castor avait eu quelque chose de magique, puisque son sort avait beaucoup changé. C’est pourquoi, pour remercier le castor de l’avoir enrichi, il protégea la forêt,  ne permit plus le passage aux voitures et contrôla le passage des piétons. Il ne retrouva jamais la maison ni ne rencontra Angelica ni Ernest et pour ne pas avoir la tentation de croire qu’il avait tout rêvé fut faire une statue de castor en or à l’entrée du parc.

miércoles, 28 de mayo de 2014

L'écureuil et le gland en cristal





Il était une fois un écureuil qui habitait à la forêt avec beaucoup d'animaux. La forêt était énorme et il y avait beaucoup d'arbres, des saules, des pines, des pommiers... Cet écureuil s'appelait Alvin et il avait une mission assez différente à celle d’autres animaux : il était policier et avait rejoint le corps spécial de police à la fois que son amie Maya, l’abeille.

Certain jour,
l’occasion arriva de partir en Grèce pour une mission importante. On avait volé le gland en cristal du temple de  Zeus, celui qui permettait le contrôle des animaux de la forêt. Maya et Alvin commencèrent à chercher des pistes qui puissent les conduire au voleur.
D’abord, il examinèrent le temple et ils ne trouvèrent rien.  

Pendant la nuit, Alvin alla seul au temple. Il trouva un peu de pollen dans l'entrée du temple, mais il le considéra normal parce qu'à ce moment-là c'était le printemps et il y avait beaucoup de fleurs roses dans la montagne. Plus tard, Alvin trouva des empreintes d'un grand animal, d'un homme. Alvin pensa que les hommes avaient volé le gland pour contrôler la forêt, détruisant tout avec ses horribles machines pour construire des maisons et des rues. Tous les animaux avaient peur des hommes à cause des histoires qu'ils avaient entendues sur ceux-ci. 

Alvin suivit les empreintes qui lui menèrent au centre ville, et là-bas se perdirent entre les empreintes d’autres hommes. Alvin avait un odorat très développé, détecta une douce odeur et décida d'en suivre la trace qui lui conduisit jusqu'à Maya et ses collègues policiers. Ils analysaient les pistes,  mais elles les conduisaient toujours chez les humains, et là-bas, on en perdait la trace.

Alors, Alvin se fixa dans les petites pattes de Maya et il ressentit que c'était la même odeur du pollen du temple. Alvin avait du mal à imaginer que sa collègue puisse être la responsable de la disparition, et décida de vérifier plus calmement les résultats de l'enquête

Avec l’aide d'autre policiers,  il suivit Maya et découvrit la cachette où elle gardait le gland. Maya confessa qu'un groupe de scientifiques l'avaient convaincue pour voler le gland, ils voulaient avoir tout le pouvoir sur les animaux de la forêt pour en arracher leur secrets.

Ils enfermèrent Maya, le gland revint au temple du Zeus et Alvin pensa avec tristesse, qu'on ne pouvait plus faire confiance à personne.

Margaret et les animaux.




PAS FAITES LES CORRECTIONS 
C'était une jeune fille qui s'appelait Margaret. Margaret aimait jouer avec les animaux. Les animaux étaient ses uniques amis. Un jour froid ils n'y étaient plus. Les animaux avaient disparu. Margaret prit sa veste, son sac rose et elle partit pour les chercher au Bois foncé, où celui qui y entrait, n'en sortait plus. Il pleuvait, faisait froid elle se décida à chercher un abri entre les roches. Tout à coup elle trouva un grand trou, y entra et découvrit fort étonnée que ce n'était pas simplement une grotte mais plutôt un passage dans un autre monde. Contrairement à ce qui se passait à l'extérieur, là-bas il ne pleuvait pas et il faisait très beau. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient et il y avait des animaux très différents à ceux qu'elle connaissait. À sa grande surprise, la Reine Nature l'attendait et l’appela par son nom.
- Nous avons besoin de ton aide Margaret -lui dit la Reine- mon royaume disparaît

- Qu'est-ce qui se passe ? - demanda Margaret.
- Ma sœur, c'est ma sœur ! Elle veut s'approprier de mon royaume. Elle s'est appropriée des animaux nocturnes et elle creait un brouillard vert qui les soumet à sa volonté.

Margaret a décidé d'aider la reine. Elles partirent avec 'le pingouin volant', Rudolf, en avion. Au matin, ils entraient dans le château, tout était obscur. La reine Sorcière les attendait.
- Ja,ja,ja,ja. Je vous attendait, dit la reine Sorcière-.

- Je veux récupérer mon royaume et ses habitants !, dit la reine Nature.

- Non ! Ils sont à mois maintenant, ils m'appartinnent aussi comme toi!

La reine Sorcière prit son sceptre magique et levant son bras, prononça les mot magiques - Abraxas Abraxas. immobilisait et enfermait la reine Nature et à Rudolf dans une cage avec tous les habitants perdus de son royaume. Margaret qui avait réagit très vite, échappa au sortilège de justesse, se lança contre la Sorcière et arracha le sceptre de ses mains. Margaret leva le sceptre contre la Sorcière à la fois que Reine Nature prononcait le maléfice. C'est de cette manière que Margaret devint reine de cette partie du monde, une reine magique, qui avec le sceptre enfermait la reine méchante dans une cage entournée par des gardiens au fond de 'La Mer Mythologique' pour le reste des jours. Margaret libérait les animaux et la reine Nature. Tous étaient heureux sauf Margaret. Elle n'était pas à un goût. Elle manquait sa maison lui manquait, elle voulait revenir. Si elle retournait, elle ne pourrait plus revenir. Margaret, triste, décider de retourner. Alors Margaret traversait la grotte magique qui se fermé à son passage. Elle ne reviendrait plus mais elle était heureuse parce qu'elle avait aidé la reine et les animaux.
Quand ellearrivait chez elle ses amis animaux l'attendaient. C'était déjà le  printemps et ils étaient sortis de ses terriers. Ils commencèrent à jouer avec Margaret. Elle savait que eux la reconnaissaient, qu'ils savaient tout ce qui s'était passé et elle ressentit la force des nouveaux pouvoirs qu'elle avait récemment acquis. Elle regarda le reflet de son visage sur la vitre de la fenêtre et elle rayonnait.
1Orthographe et place de l'adjectif: derrière
2froid
3Éffacer tout ce qui est en rouge
4s'est appropriée des
5les soumet à sa volonté
6Passé simple
7Elles partirent
8Passé simple
9Ja, ja, ja
10vous
11Virgule (,)
12mon
13virgule
14 à moi
15ils
16toi
17prit (passé simple de prendre)
18 et levant son bras, prononça les mots magiques:
- (invente un sortilège)
19Point
20Passé simple
21Passé simple
22qui avait réagit très vite, échappa au sortilège de justesse, se lança contre la Sorcière et arracha le sceptre de ses mains. Margaret leva le sceptre contre la Sorcière à la fois que Reine Nature prononcait le maléfice. C'est de cette manière que
23devint
24Inverser l'ordre de l'adjectif : reine magique
25pour
26PS
27sauf
28Un lit, une chaise sont confortables, une personne?????
29Sa maison lui manquait.
30imparfait
31pourrait plus (conditionnel)
32PS décider de + infinitif
33PS
34PS
35passage
36plus
37PS
38chez elle
39le
40commencèrent à
41Elle savait que eux la reconnaissaient, qu'ils savaient tout ce qui s'était passé et elle ressentit la force des nouveaux pouvoirs qu'elle avait récemment acquis. Elle regarda le reflet de son visage sur la vitre de la fenêtre et elle rayonnait.


C'était une jeune fille qui s'appelait Margaret. Margaret aimait jouer avec les animaux. Les animaux étaient ses uniques amis. Un afreaux jour ils n'y étaient plus. Les animaux avaient disparu. Margaret prit sa veste, son sac rose et elle partit pour les chercher au Bois foncé, où celui qui y entrait, n'en sortait plus. Il pleuvait, faisait elle se décida à chercher un abri entre les roches. Tout à coup, elle trouva un grand trou, y entra et découvrit fort étonnée que ce n'était pas pas simplement une grotte mais plutôt un passage dans un autre monde. Contrairement à ce qui se passait à l'extérieur, là-bas il ne pleuvait pas et il ne pleuvait pas et il faisait très beau. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient et il y avaient y avait des animaux très différents à ceux qu'elle connaissait. À sa grande surprise, la Reine Nature l'attendait et l’appela par son nom.

- Nous avons besoin de ton aide Margaret -lui dit la Reine- mon royaume disparaît

- Qu'est-ce qui se passe ? - demanda Margaret. 
- Ma sœur, c'est ma sœur ! Elle veut s'approprier de mon royaume. Elle restait avec les animaux nocturnes et elle à crée un brouillard vert qui fait aux animaux ses sujets.  

Margaret décidait d'aider la reine. Assemblées sont parties avec 'le pingouin volant', Rudolf, en avion. Au matin, ils sont entrés dans le château, tout était obscur. La reine Sorcière les attendait.

- Je les attendait -dit la reine Sorcière-.

- Je veux récupérer ma dépêche du royaume et ses habitants ! -dit la reine Nature.

- Non ! Ils sont mois, maintenant m'appartinnent aussi comme tu !

La reine Sorcière a pin son sceptre magique, élevait, immobilisait et enfermeit à la reine Nature et a Rudolf dans une cage avec tous les habitants perdus de son royaume. Margaret courait et enlevait le sceptre à la reine. Margaret transformait en vrai reine de cette partie du monde, une magique reine, qui avec le sceptre enfermait la reine méchante dans une cage entournée par des gardiens au fond de 'La Mer Mythologique' par le reste des jours. Margaret libérait les animaux et la reine Nature. Tous étaient heureux moins Margaret. Elle n'était pas confortable. Elle manquait sa maison, elle voulant revenir. Si elle retournait, elle ne pouvait pas revenir. Margaret, triste, décidé retourner. Alors Margaret traversait la grotte magique qui se fermait à son pas. Elle ne reviendrait pas mais elle était heureuse parce qu'elle avait aidé la reine et les animaux.
Quand elle est arrivée à sa maison ses amis animaux l'attendaient. C'était déjà un printemps et ils étaient sortis de ses terriers. Ils commençait jouer avec Margaret.

LE PETIT DINOSAURE.





C'était une fille qui s'appellait Anne. Anne aimait l'histoire c'est pour cela qu'elle avait beaucoup de livres et possédait une vaste collection des reproductions de dinosaures en caoutchouc. Elle passait les jours à lire ses livres et à jouer avec les dinosaures.


Un jour, Anne trouva par hasard, entre ces livres, un bouquin dont elle n’en gardait pas la mémoire : un livre de sortilèges.  « Si j’avais eu dans mes étagères un tel livre, je ne l’aurais pas oublié !», pensa-t-elle à la fois qu’elle se demandait comment avait-il pu arriver là. Elle commença à le feuilleter et  tout de suite son imagination partit au galop. Au fur et à mesure qu’elle lisait les recettes, les instructions et les invocations magiques, elle se voyait déjà entourée des plus beaux dinosaures du monde, qui couraient, criaient, mangeaient et se laissaient caresser de ses mains douces. Pas une seule fois dans sa rêverie elle imagina un quelconque visage terrifiant ou une bouche grande ouverte pleine de dents carnassières.  Tout à coup, bien claire à l’en-tête de la page, la formule magique : Créer un dinosaure. « Si c’était possible… un vrai » rêva-t-elle encore avant de continuer à lire.
Anne trouva l'exhortation et elle eut besoin d'un œuf pour pouvoir le faire. Elle alla à la cuisine, ella prit un œuf et le mit au four durant 30 minutes. Alors que l’œuf se chauffa, Anne dit les mots magiques:

La Crevasse abracadabrer 
une patte de chèvre
qu'un dinosaure de rien, émerge.

Quand Anne finit de dire ces mots, la coquille de l’œuf commença à se casser petit à petit et le petit dinosaure sorta.
Anne ouvrit le four et prit emerveillée le petit dinosaure entre ses mains.
“Qu'il est mignon ! Où est-ce que je pourrais le cacher ? Si maman le voit... » pensait-elle pendant qu'elle arrivait à sa chambre. Elle le lâcha dans le lit et le dinosaure se réfugia sous un coin. Le petit dinosaure avait peur, elle lui faisait peur. Alors Anne commença à lui parler.

- Salut, dit Anne, mais le dinosaure ne répondit pas.
En ce moment, Anne écouta des voix, c'était sa sœur qui venait à la chambre. Elle arrangea le lit et vérifia à toute vitesse que le dinosaure n'était plus visible. Quand Marie, la sœur d'Anne partit, Anne reprit sa conversation avec le dinosaure pour qu'il n'eût pas peur.

-Je m'appelle Anne, n'aie pas peur de moi, lui dit-elle, mais le dinosaure ne répondit pas . 
 
-Ça y est! Tu t'appelleras Ramon, lui dit Anne enthousiasmée.
-Merci. Ramon, ça me plaît, dit alors le dinosaure et Anne resta pour quelques instants bouche béante.

-Tu parles! C'est fantastique!

Les jours passèrent et Anne l'apprenait à manger, à parler, à marcher... jusqu'à ce qu'il sût tout faire et elle lui présenta sa famille. Au début, il leur sembla étrange d'avoir chez eux un dinosaure qui parlait, mais au bout de quelques jours ils l'acceptèrent et il fit partie de la famille.

L' hôtesse de l'air et l'ours panda




David, un célèbre photographe autrichien,  mit direction à Guanghou en Chine, pour réaliser un album photographique. Là-bas, il rencontra un ours panda qui aimait beaucoup se faire photographier. C’est pourquoi il lui prit une grande affection. David  décida de l' adopter et de lui porter chez lui , mais ce voyage allait être différent...

Tout  commença, lors de son retour de la Chine, après avoir fait échelle à New Delhi, l’avion du faire un atterrissage d’urgence en Turquie. Une hôtesse de l'air jeune le remarqua et l’interdit de monter à l’avion, David n'a pas douté  un instant. Et il a pris un taxi qui le porterait jusqu'à Vienne, Une fois arrivé á sa maison luxueuse, après avoir parcouru l'Europe, il arrive à la moitié, le panda ne s'adapte pas à son nouveau lieu et il est devenu malade, plus tard il meurt, L'amour de David vers l'ours était très grand, parce qu'il a décidé de l'accompagner dans sa nouvelle vie...





 

Le méchant scientifique sans jambe

PAS FAITES LES CORRECTIONS


Käth, c'était[1] un scientifique très méchant appelait[2] qui vécus[3] avec son grand chat Popo. Ils vécurent[4] dans un château lequel était[5] à côté d'une[6] village appelait[7] Tica. Quand Käth était petit il vécus à Tica, mais tout la peuple[8] se moquait d'il[9] parce qu'il était un peu rare, il parla tout seul, il joua tout seul et le maxime contact qu'il eut avec un être vivant c'est avec son chat Popo[10], pour ça, la peuple de Tica l'ont quitta de Tica et aujourd'hui Käth habita dans son château[11]. Käth était très fâche avec la peuple de Tica[12]


et il voulut les faire disparaître, pour faire ça, il va inventer un machine que fait disparaître des choses, mais il y avait un homme appelait[13]

Rob qui connut[14] les méchants plans de Käth et il[15] va tronquer ses plans. Rob était un homme normal sans pouvoirs magiques, mais il avait une tète[16] magnifique et il résolut[17] problèmes de tout types[18][19], d[20]onc il va[21] essaya[22] de eviter que Käth fare[23] disparaître tout la[24] peuple de Tica, mais, [25]pourrait il?

Quand Käth rassembla tout les pièces pour construit la machine, [26]Rob apparut et il sabota la machine de Käth, mais Käth ne sa rendit conte[27] et [28]il alluma la machine et pour le sabotage de Rob[29], la machine explosa. A[30] cause de l'explosion[31] Käth perdit une jambe et la peuple l'ont appelait le scientifique sans jambe[32].

Pour cela, Käth apprit et aujourd'hui il est une bonne personne avec la peuple de Tica et tout le monde est une bonne persone avec il.[33]



[1] Réorganise la phrase, synthétise
[2] éliminer
[3] imparfait
[4] éliminer
[5] éliminer
[6] Masculin: à côté du village Tica
[7] éliminer
[8] Depuis qu’il était petit, tout le monde à Tica
[9] de lui
[10] avait l’habitude de parler tout seul, de jouer tout seul et parce que le seul être vivant avec lequel il entrait en contact c’était son grand chat Popo.
[11] C’est pourquoi, un beau jour, il décida de quitter le village et s’en alla vivre avec son grand chat Popo dans le château aux alentours du village.
[12] qui souffrait depuis toujours les blagues des gens du village, commença à rêver sa vengeance et jour après jour il mit en route son plan : d’abord la construction de sa machine, ensuite les essais pour vérifier  si elle fonctionnait et, finalement, son application au village. Ce qu’il pouvait avoir conçu pendant ces longues années de souffrance il allait le faire connaître de tous, sans avis préalable si ce n’est pas parce que Rob, qui le vigilait de près depuis toujours, avait assisté intrigué à pas mal de séances, sans se faire voir ni entendre.
(Rédiger la scène du moment où il fait son essaie final, description de ce qui se passe (avec un rat, par exemple) et oriente la machine vers l’ensemble du village, augmente la potence…. Et quand il est sur le point d’exécuter son plan, Rob arrive et le lui empêche.)
[13] éliminer
[14] imparfait
[15] éliminer
[16] orthographe
[17] savait résoudre
[18] toute sorte
[19] Point (.)
[20] majuscule
[21] éliminer
[22] Conditionnel: essayerait d’éviter
[23] Subjonctif présent: fasse
[24] masculin
[25] Interrogation, inversion du sujet: pourrait-il
[26] La nuit, Rob entra dans l’atelier de Käth, et disposa les connexions électriques de telle manière que les rayon destructeur ne sortit pas.
[27] ne s’en rendu pas compte
[28] quand
[29] éliminer
[30] Préposition: à
[31] Virgule (,)
[32] Les gens du village l’appelèrent depuis l’accident, Käth, le boîteux
[33] éliminer



Käth c'était un scientifique très méchant qui vivait avec son grand chat Popo dans un château à côté du village Tica. Depuis qu’il était petit, tout le monde à Tica se moquait de lui parce qu'il avait l’habitude de parler tout seul, de jouer tout seul et parce que le seul être vivant avec lequel il entrait en contact c’était son grand chat Popo. C’est pourquoi, un beau jour, il décida de quitter le village et s’en alla vivre avec son grand chat Popo dans le château aux alentours de Tica. Käth qui souffrait depuis toujours les blagues des gens du village, commença à rêver sa vengeance et, jour après jour, il mit en route son plan : d’abord la construction de sa machine, ensuite les essais pour vérifier  si elle fonctionnait et, finalement, son application au village. Ce qu’il pouvait avoir conçu pendant ces longues années de souffrance il allait le faire connaître de tous, sans avis préalable si ce n’est pas parce que Rob, qui le vigilait de près depuis toujours, avait assisté intrigué à pas mal de séances, sans se faire voir ni entendre. Et il voulut les faire disparaître, pour faire ça, il va inventer un machine que fait disparaître des choses,la potence de la machine c'est magistral, il peut fait disparaître un village et tout la peuple, mais il y avait un homme appelait Rob qui connaissait les méchants plans de Käth et va tronquer ses plans. Rob était un homme normal sans pouvoirs magiques, mais il avait une tête magnifique et il savait résoudre problèmes de tout types. Donc il essayerait d’éviter  que Käth fasse disparaître tout le peuple de Tica, mais, pourrait-il?

Käth ne ne s’en rendu pas compte et quand il alluma la machine, la machine explosa. À cause de l'explosion, Käth perdit une jambe et es gents du village l'appelèrent depuis l'accident, Käth, le boîteux.