Tout
commença
à
Séville. C’était
un
jour comme
tous les jours. Les
enfants allaient
au
collège. Les
adultes allaient
au
travail. Les
visiteurs
visitaient
la
ville. Comme c’est habituel à
Seville
et
pourtant dans
toutes
les villes
routinières où on habite.
Il
faisait
chaud.
Cette
chaleur si suffocante typique du sud. La Giralda
présidait la ville comme
d'habitude.
Beaucoup
de gens jouissaient
de
belles vues de la ville du haut de la tour.
C’était
la
semaine qui précède
la célébration de Pâques. Les
confréries préparaient
leurs images et tous les préparatifs pour les processions.
On
avait dit un jour comme les autres. À midi, une nouvelle de dernière
heure cassa l'habitude. Le maire, Mario, un ancien étudiant de séminaire, qui fut expulsé pour voler les bijoux de la
vierge, avait fait quelques déclarations publiques sur sa
non-conformité avec la célébration de Pâques.
Il pensait qu'au XXIe siècle où beaucoup de gens
ne croyaient plus, il n'était pas logique de donner tant
d'importance à une célébration religieuse.
À
ce moment-là tout le monde pensa que c'était une simple déclaration. Personne ne soupçonna que cette déclaration serait lourde de
conséquences. Tous
les religieux se manifestèrent contre ces déclarations. Comme c'est
normal de nos jours, les religieux commencèrent à chercher des
prétextes pour discréditer le maire. Plusieurs
d'entre eux ils
furent emprisonnés
après avoir réalisé ces recherches. À ce moment-là la situation
de la ville changea de manière radicale.
Après le conseil
municipal, pour réprimer ceux qui le critiqueraient
le maire annonça des nouvelles normes qui interdisaient toute
manifestation. La
vie citoyenne
commençait
à
être de plus en plus
comme en Espagne en
1950. Les gens étaient emprisonnés par ses opinions, il
n'y avait plus de liberté,
et l'état ne faisait rien pour remédier à cela. Presque
tous
les politiques
appartenaient à des
trames
de corruption. Monsieur
Julio Hernández, le juge
ami de monsieur Mario
Sánchez, le maire,
négligeait toutes les demandes contre
les normes de restriction de libertés civiles
qu'on
interposait
À ce moment-là, le vicaire qui avait été le maître de séminaire de Mario, organisa une réunion avec l'archevêque de Séville. Pendant qu'il se dirigeait vers la réunion, une éclipse se produisait et, même s'il n’était pas superstitieux, ne put s'empêcher de penser que c'était un mauvais signe. Tout au long du parcours vers le Palais de l’archevêque, il se rappela des interprétations -toujours catastrophiques- du phénomène. Quelle serait la catastrophe à laquelle on devrait faire face maintenant ? c'est avec l'esprit tout excité des pensées noires qu'il arriva.
– Monsieur
vicaire dit :Bonjour,
je suis, Rodrigo, le vicaire qui était resté avec Monseigneur
Amadeo.
–
Le
secrétaire dit : Bonjour
monsieur, je suis désolé
mais monseigneur Amadeo ne se trouve pas bien aujourd'hui
et ne
pourra pas vous recevoir.
–Monsieur
vicaire dit: Mais…
le sujet est crucial pour
l'église.
–
Monsieur secrétaire
dit : Je suis désolé monsieur mais la
seule chose que
je peux faire est de parler à son subordonné monsieur l'évêque.
–
Monsieur vicaire dit :
Oui, s'il vous plaît,
c'est un sujet très important.
Au bout d'un moment Rodrigo, le vicaire, put parle avec monsieur l'évêque.
–
Monsieur l'èvêque dit :
Bonjour, je regrette
que Monsieur Amadeo ne soit pas en situation de vous écouter,
asseyez vous s'il vous plaît.
–
Monsieur le vicaire dit :
Bons jours monseigneur, je
dois vous dire que la situation à
Seville est très mauvaise en ce qui
concerne 'église.
–
Monseigneur l'évêque
dit :Calmez-vous monsieur, racontez-moi
ce qui passe.
Après
une longue conversation entre le vicaire et monseigneur l'évêque,
celui-ci informa le Vaticane.
Le "Papa" même se mit en
conversation avec les
gouvernants espagnols Ceux-ci refusaient de savoir l'existence des demandes imposées par
l'archiépiscopat de la ville de Séville, au conseil municipal de la
ville. Ils
promirent de
régler la situation. Mais tandis
que les festivités
de Pâques étaient
sur le point de commencer. Les
confréries ne savaient pas si elles pourraient sortir ou si on les
ferait arrêter.
Après avoir vu que tout suivait égal à Séville, l'ambassadeur du Vaticane pris la décision d'aller chez une personne résoudre tout. Il avait beaucoup un prestige et par cela le gouvernement a accepté pour l'accompagner à Séville.
Après avoir vu que tout suivait égal à Séville, l'ambassadeur du Vaticane pris la décision d'aller chez une personne résoudre tout. Il avait beaucoup un prestige et par cela le gouvernement a accepté pour l'accompagner à Séville.
Les
conversations avec le gouvernement espagnol conclurent avec un
accord : un nonce apostolique du Vatican ouvrirait le défilé
des processions. Et
même le
Président
du gouvernement a ordonné d'arrêter Mario et ses complices, y
assistirait. La rumeur courut et le clima dans la ville devint plus
chaud car il commença à avoir des disparutions de gens qui
faisaient parti des confréries, et quelques réligieux. La police
dut intervenir et avec elle, la magistrature. On releva de son poste
le juge Julio.
Dans
ce moment le subordonné du président, qui était à l'intérieur de
la trame de corruption, a averti Mario pour qu'ils puissent fuir. Mario
et ses complices se sont cachés dans le sous-sol d'une église
négligée où ils continuaient de projeter son plan de vengeance. En
attendant Mario restait caché, le gouvernement a destitué ces
gouvernants de la ville. Après s'être informé de la nouvelle,
Mario et ses acolytes qui n'étaient pas déjà un groupe de
politiques corrompus si qui s'étaient convertis en groupe
antireligieux, ont séquestré certains religieux pour exiger en
échange l'abolition du pâque.
La
police ne trouvait pas où les malfaiteurs étaient cachés. Les
séquestrations continuaient, la
peur des gens arriva
à
tel point que les dévots ne
sortaient plus de chez eux et n'assistaient plus aux offices
réligeux.
Le
vicaire,
fatigué de la
situation et du manque de courage des ses fidèles, il
mit
un
communiqué sur
la une du journal
''
El olé''. Cet
article disait aux dévots qu'ils n'avaient pas à avoir peur, ni
beaucoup moins parce que les fous (comme il se rapportait quand il
parlait de Mario et ses acolytes) se fatigueraient à la fin de
poursuivre et qu'ils ne sortiraient jamais avec son
propos.
L'une des phrases les plus significatives de l'article était "Le
pâque ne pourra jamais être éliminé puisqu'une tradition si
enracinée ne disparaîtra jamais''.
Ces
déclarations, gêna tellement Mario qui décida de kidnapper le
vicaire. Pendant
que Mario et ses acolytes plannifiaient l'enlèvement du vicaire, les prisonniers,
suivant les renseignements donnés par un des prêtres qui
connaissait le système d'aération police des nouveaux plans. Quand
la police entra, trouva Mario ensanglanté à côté du cadavre
poignardé du vicaire.
Tout avait mal fini pour le vicaire. Le pauvre homme par le fait d'avoir été le maître d'un fou avait achevé mort, assassiné pour défendre les droits d'une religion. Ce type de situation que nous pouvons trouver dans notre vie quotidienne et d'où nous pouvons tirer la conclusion de ce que nos actes répercutent les autres, il a marqué la vie de la ville de Séville. Depuis ce moment le sujet de la corruption était très contrôlé. Dans un parc de la ville on a placé une plaque commémorative dans un honneur à lui vicaire. Mario finit emprisonné avec une condamnation qui doublait son âge à ce moment-là. Ses complices, qui étaient la majorité de son parti, finirent aussi en prison.
Tout revint à la normalité et le Pâque les festivités de Pâques furent, finalement, célébrées.
Mais:
un complice de Mario restera-t-il libre ?, cela nous ne le saurons
jamais parce que personne ne veut perdre sa liberté jusqu'à ce
qu'ils arrivent à un point de la folie dans lequel tout leur est
égal.
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