miércoles, 17 de junio de 2015

L'agent sportif corrupte el le footballeur idiot


L'agent sportif corrupte el le footballeu idiot

Un jour très chaud très chaud jour d'été, Paco et Antonio ètaient assis dans une banc en préparant1 le parti q'ils avaient le jour suivant2. Ils projetaient ses tactiques pour le match mais le footballeur3 était triste . Il n'était pas capable de dormir.


Seulement parce que si un portrait cinq partis suivis marquer un but. L'agent sportif l'animat4 au5 footballeur et il lui a dit.
Demain, ce sera ta journée de chance, tu marqueras un but. Tu vas voir
Le lendemain, dans la Une minute 72 de match, (fulanito marcó gol). Cette minute Il lui est resté6 grave7 dans la memoire. Il a marqué un8 joli but qui remporta le match , et dessus a gagné son équipe tous sont partis près d'une fête á la cèlebrer

Kiki carabi, mon histoire est finie pour aujourd'hui.

No entiendo la relación entre el título y la histoira ¿Dónde está la corrupción en tu historia ?
1GERUNDIO ESPAÑOL >>> À + INFINITIF : “ à préparer”
2du lendemain
3Quel footballeur? Le nom
4IMPARFAIT
5Complément d'objet direct, sans préposition: le
6AU FÉMININ
7PARTICIPE PASSÉ AU FÉMEININ: GRAVÉE
8ARTICLE DÉFINI ( es un gol concreto)

Le footballer et le dentiste gentil


LE FOOTBALLEUR PASSAIT ET LE DENTISTE AIMABLE


Il était une fois deux frères, l'un dentiste et l'autre footballeur, qui avaient connu une fille la veille de la saint-Valantin. Elle était coiffeuse et ce jour-lá ils on était allés1 se faire couper les cheveux au salon de coiffure de Marie.
Elle était très belle et les deux frères tombèrent amoureux d'elle. Et tous les deux, l'invitèrent passer la soirée de la Sain-Valentin ensamble.
Quelques jours tard, ils sortirent prendrer un verre tous les trois. La soiré ese passa très bien , mais après êtres rentrés chez eux les deux frères ils eurent une très fort discussion à couse d'elle.
Les leurs2 mois se son succédés3 de préocupation en inquiétude et préoccupés parce qu'il n'y avait plus de calme à la maison car depuis qui els4 sortaient aver Marie ils se disputaient de plus eu plus.


¿CÓMO TERMINA LA HISTORIA ?
1PLUSQUEPARFAIT: ils étaient allés
2Plusieurs
3Passé simple: SE SUCÉDÈRENT
4QU'ILS

La cosmétique agressive et le photographe gentil




C'est une nuit de mai, en 2040, une tempête électrique transforme la village de Transylvanie. Une cruelle technicienne en cosmétique, fatiguée d’être rejetée par les hommes, invente un cosmétique capable d'effacer le visage des femmes, et un dispositif spécial pour diffuser le lendemain le dangereux liquide dans l'air.

Un jour de mai, tous les journaux et tons les chaînés de TV effroyable nouvelle .Toutes les femmes de la ville de Transylvanie se réveillées ce matou là suas visages.Ne sais pas car il est arrisé que .Un photographe concerné au sujet de ce qui se était passé,a décide de regarder le personne qui au oit fait que,un jour qui passé a marcher collision avec des produits cosmétiques,en regardant son visage et se rendit complété qu'elle était a blâmer pur leur malheur,suivie a son laboratoire, ou il vit qu’elle pleurait parce qu'a aucun homme ne voilait et elle lui, son tomber en amour avec lui,il a décide de créer l' antidote,à la fois que les femmes se retourner plus visage.

Elvira Redondo Mateos

Enrique le maìtre de maison et le veterinaire




Plus je vous en dirai, plus je mentirai et je ne suis pas payé pour vous dire la vérité…

C'était une fois, un homme qui s'appelle Enrique, il est passionné des chiens. Un jour... Enrique nettoyait l’étage où il vécut avec Marie. Le timbre sonna, quand il ouvrit, il vit un chien abandonné avec une patte brisée, il décida de lui porter dans à une clinique vétérinaire que Marie lui avait recommandée. La maîtresse propriétaire de la clinique était Nazaret.

Je suis préoccupé, dit Enrique .
Pourquoi? demanda Nazaret.
Parce que je n'aime pas séparer les couples, Enrique dit.
Ne t'inquiètes pas, on se verra en secret, elle répondu.

Le lendemain, Henri revint à la clinique avec l'excuse que chienne ne mangeait pas, mais en réalité c'était pour la voir.

Cela dura une semaine. Avec l'un ou l'autre prétexte, il se présentait dans la clinique et parlait trop avec Nazaret.

En réalité, ce qui arrivait à Enrique était que depuis qu'il avait connu Nararet il était tombé amoureux. Nazaret, pour sa part, était ravie d'avoir rencontré Enrique. Alors, ils décida de maintenir en secret ses folles amours.

Marie, qui avait la mouche à l'oreille, commença à les suivre et essaya de les prendre la main dans le sac. Les hommes n'apprendront jamais que la femme trompée est très dangereuse et qu'elle ne vivra que pour se venger.
Marie décida alors de partir de l'appartement où elle vivait avec Nazaret et retourna passer quelques jour chez ses parents à son village, Trujillo.

Enrique et Nazaret commencèrent une histoire ensemble et avec le temps ils semarièrent, eurent beaucoup d'enfants, furent heureux et mangèrent des perdrix.

Kiki carabi, mon histoire est finie pour aujourd'hui.

Virginia Arce Casero


Le pompier distrait et le policier inquiet




Ce sont des histoires de la forêt noire.

Mon histoire s'est passée dans un petit village proche de la ville. Le petit village, trop petit, manquait de quelques services, notamment celui des pompiers. Même s'il était a une bonne quarantaine de kilométrés de la ville, les autorités n'avaient jamais considéré nécessaire de survenir à cette situation. Et pourtant, une épaisse forêt de sapins engloutit le village au fond de la vallée. Le hasard, qui venait toujours compliquer les choses, avait voulu que, en direction opposée, à l'autre coté de la ville de Ruanes du Bois, sur le plateau qui s'éloignait à perte de vue, un autre village ait le même nom, Ruanes de la Plaine. On spécifiait Ruanes de la Plaine on Ruanes du Bois pour bien s'entendre.

Par la négligence du pompier, je ne prends pas de note juste du lieu du contexte les pompiers sont arrivés à Ruanes de la Plaine où il n'y avait pas d'incendie. Pendant ce temps, dans Ruanes du Bois l'incendie s'entendait à toute vitesse. Une grande partie du village et ses environs je me brûle complètement. Tout il devint noire : les nontagnes, les toits, le ciel ... et le retard des pompiers A provoqué une grande catastrophe. Les villageois très agacés il mit une demande aux pompiers parce que beaucoup de personnes ils ont été intoxiqués et quelques animaux il mouron.

Quand les pompiers informèrent de tout ce qui s'était passé au Maire de palace le chef lieu des communes, l'alcade en personne s'excusa devant l'assemblée des villageois
et il leur dit qu'ils pouvaient compter sur lui pour s'en sortir de la situation catastrophique dans laquelle ils se trouvaient.
Comme il arrive avec les promesses des hommes politiques, les plus jeunes l'on cru; les plus vieux, non.

Ce sont des histoires qui me raconta mon oncle Grégoire.

martes, 16 de junio de 2015

JOURNALTHÉRAPIE

Pour habiter cette ville, on doit savoir dissimuler très bien. Dans cette ville il n'y a que les apparences qui comptent. Ma grand-mère me disait cette phrase toujours, mais  je l’ai mise en fonctionnement en ce début d'année lorsqu'on me diagnostiqué un cancer. Ce jour commença pour moi une nouvelle vie.

Je suis Lilian, j'ai 43 ans et je travaille comme serveuse avec mon mari Mario. Nous avons une brasserie dans notre petit village Olivenza.
Mario est grondeur et un peu grognon, mais je l’aime. Nous avons deux filles : Sophie et Tatiana.
Ma vie était trop paisible, j'étais heureuse avec ma famille, mon travail et mes amis. Mais le diagnostique du cancer du sein est venu tout bouleverser.

Je sais que la maladie sera dure, et c'est pour cela j'ai décidé de me mettre à l'aise avec mon journal

Aujourd’hui, le 5  février  2015, j'ai reçu ma première séance de chimiothérapie. Je suis arrivée seule à l'hôpital parce que j'étais décidée à occulter ma maladie à ma famille. Je crois que mes filles ont le droit d'avoir une enfance heureuse. Elles sont très jeunes pour savoir que sa mère peut mourir.
Aussi j'ai décidé d'occulter la maladie à mon mari, je ne veux pas que Mario soit à côte de  moi cela va lui faire souffrir beaucoup.
Passer la maladie seule sera trop difficile, mais je ne veux rien changer la vie de ma famille.

Mardi, le 10 février 2015.
Aujourd'hui j'ai commencé à perdre mes cheveux, j'ai nausées et je me sens trop fatiguée. Mon mari pense que j'ai une grippe, il veut que j'aille au médecin, mais je ne peux pas aller parce que alors il découvrirait ma maladie. Je dois trouver une solution.
Je me sens seule, j'ai besoin de parler à quelqu'un de ma maladie ou j'entrerai dans une dépression.
J'ai pensé parler à ma tante, j'ai besoin de m'appuyer sur elle.
Quand j'avais 16 ans mon oncle a eu un cancer de poumon, et ma tante en avait déjà fait l'expérience.

Vendredi, le 13 février 2015.
Ma tante m'a téléphoné aujourd'hui. Elle m'a prié de dîner ce soir chez elle à la campagne, et je vais en profiter. Mes filles font une excursion tout le week-end et mon mari ira dîner avec ses amis. J'irai donc passer la soirée  avec ma tante et je lui parlerai de  ma nouvelle situation.
Il est 17h et je suis trop nerveuse, je me sens comme quand j'avais dix ans et j'allais passer l'été avec ma tante.  
J'ai presque fini de m'habiller, et je vais porter des boucles d'oreille que ma mère m'a offerte quand elle mourut , aujourd'hui c'est une nuit spéciale. 
Me voilà revenue de chez ma tante il est déjà 23h, le dîner avec ma tante a été parfait, elle m'a donné de grands conseils, et m'a dit que je dois raconter au moins cette situation à mon mari, il va falloir que j'y réfléchisse encore.

Vendredi, le 20 février 2015
Je mis toujours dans l'indécision. Quoi faire ? Partager mon désespoir avec Mario?
Ah, non. Je voir souffrir, mentir, me donner des faux espoirs. Par ailleurs j'ai commencé à perdre tous mes cheveux, et j'ai déjà commandé une perruque exactement égale à mes cheveux naturels.

Jeudi, le 5 mars 2015.
C'est mon anniversaire de noces, aujourd'hui cela fait déjà 16 ans que je me suis marié avec Mario. Tous les ans, on fait la fête dans notre propre restaurant avec une nourriture familière.
Mais cette année sera différente,  je n'ai pas envie de faire la fête, et mon mari a commencé à remarquer ma maladie. Je lui ai raconté que je perds mes cheveux par le stress du restaurant, mais je sais que j'aurai à lui dire la vérité. Il devient bonde un peu depuis qu'il sait qu'on ne faire pas de célébration cette année. Il ne comprend pas et je n'ose pas lui dire la vérité.

Vendredi, le 13 mars 2015.
Vendredi et 13, un jour de mauvais sort . Ma tante est très superstitieuse, et elle pense qu'aujourd'hui il faut faire attention. Les mauvais esprits se déchaînent et ils purent arriver des choses terribles. Elle me dit qu’il faut ne pas alimenter les mauvais espoirs avec des mauvaises actions.
parce que je ne suis pas sincère avec ma famille. Elle pense que l'univers
et les personnes sont reliés par des liens invisibles. Et que ce que cha fait dans sa vie à de répercussion à  l’infini. Ne pas dire la vérité entraîne à longtemps de conséquences invisibles, dangereuses pour soi même et pour ceux qu'on aime.
Elle ne me comprend plus. SI je ne parle, ce sera elle qui le fera.
Ma tante dit que je dois parler à mon mari avant que l'éclipse solaire du 20 Mars se produise.
Les civilisations anciennes  croyaient que pour se protéger de l'éclipse ils devaient faire un sacrifice, et mon sacrifice sera de raconter la vérité à mon mari.

Mardi, le 17 mars 2015.
Le moment est arrivé. Aujourd'hui mes filles font une excursion avec le collège, alors mon mari et moi sommes seuls .Pendant le repas, je lui parlerai de ma prochaine séance de chimiothérapie. Je serai beaucoup plus faible et j'ai besoin de  l'appui de mon mari. Je suis aussi inquiète parce que mon mari découvrira la facture de la perruque.  Il ne sait pas le prix. Il ne va pas être content. 400 euros et puis les coûts du traitement qui viennent d'arriver.

Il est midi et mon mari finit d'arriver.

-Mario : Salut mon amour !
-Lilian : Salut chéri !
-Mario : Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles nerveuse.
-Lilian : Asseyons-nous. J'ai besoin de te raconter quelque chose d'important, je suis malade, mais ne t'inquiète pas, c'est pas si grave.
-Mario : Mon Dieu ! Ne sois pas triste. Je sais que tu as un cancer du sein. Le docteur Loygorri m'avait prévenu et d’ailleurs, ta tante aussi. Pourquoi ce silence envers noms ?
-Lilian : Je le regrette Mario ! Je n'ai pas dû mentir.
-Mario : Ma chérie je te pardonne. Je sais que tu ne voulais pas m'inquiéter.
-Lilian : Je ne veux pas voir de regard piteux envers de moi.
-Mario : Écoute-moi Lilian.
-Lilian :Merci beaucoup ! Mais  Mario, jure-moi que les petites filles ne sauront pas que je suis malade.
-Mario : Tranquille mon amour. Elles ne sauront rien et dans trois mois tout sera passé.

Lundi, 30 mars 2015.
Il y a une semaine j'ai reçu ma troisième séance de chimiothérapie, je me sens fatiguée et j'ai mal à l'estomac. Mais je suis heureuse, Mario se met en quatre pour moi et le 14 avril je terminerai la chimiothérapie. 

Vendredi 3 avril 2015.
 Le docteur Loygorri m'a téléphoné pour me dire que le 20 de ce mois je commencerai avec la radiothérapie. Je recevrai ce traitement jusqu'au 5 mai.
Quand l'année sera finie ma vie reviendra à son lit. Je reprendrai les sorties avec mes amies, j'irai prendre du café avec ma belle - sœur, je ferai fête près de mon mari et passerai plus de temps avec mes filles.
Si, le bonheur reviendra chez nous.

Samedi 11 avril 2015.
Mon mari est parti pêcher avec ses amis. Je me sens seule, je suis de plus en plus faible et j'ai l'impression qu'après tout personne ne comprend ** pas, même Mario.
Il a l'air de ne pas voir les risques*, comme si ma maladie serai. Pour les autres la vie continue comme si de rien n'était quelque chose de léger, je crois qu'il ne comprend pas le sérieux du cancer.


Lundi 20 avril 2015.
Enfin! Aujourd'hui commence mon traitement de radiothérapie. J'essaie d'être positive et de penser que dans 15 jours ma vie changera à mieux.
Il est dix heures du matin et je suis déjà à l'hôpital. Je suis venu seule, mon mari avait des choses à faire au restaurant.
Je suis arrêté devant de la porte du cabinet du docteur Abellaneda. Ce sera lui qui contrôlera mes  séances a l'hôpital.
Je suis nerveuse, j'ai donné rendez-vous à ma tante ici et elle n'est pas arrivée. Je serai seule dans le cabinet.
Il est dix heures et demie et on m'appelle.


Dr Abellaneda : Bonjour madame !
Lilian : Salut docteur !
Dr Abellaneda : Bien, alors vous êtes Mme Lilian Vega De Higuera.
Lilian :Oui !
Dr Abellaneda : Il y a quelques années  vous étiez plus jolie et je vous appelais ma petite Lil.
Lilian : Uff. Il y a 25 ans déjà de cela. Qui se rappelle ?
Dr  Abellaneda : Beaucoup de temps, mais je ne t'ai jamais oubliée.
Lilian :  Dis donc. Tu pars à Seville, ne donnes plus de nouvelles et tu affirmes comme ça « Je ne t'ai jamais oubliée ! » dis-je vraiment en colère le cœur brisé. Et maintenant... ce n'est pas juste !
Dr Abellaneda : Je le sais, mais...
Lilian : Je n'ai pas besoin d'explications, ma vie est très différente maintenant.
Dr  Abellaneda : Je regrette beaucoup. Je ne voulais pas vous importuner. Ce n'est pas le moment. Excusez-moi.

Ramiro Abellaneda La Calle est un vieille ami de mon frère Alvaro, il avait été mon premier amour. Il a cassé mon cœur quand il m'a laissé pour partir à Séville pour étudier, et je n'ai jamais recommencé à savoir de lui


Mercredi 22 avril 2015.
Aujourd'hui j'ai encore une nouvelle consultation avec le Docteur Abellaneda. Je l'avais oublié et pourtant... tout recommence. Les rêveries sont revenues. Ah, arrête à penser des bêtises. L'amour de ta vie...
C'est par hasard que tu l'as rencontré. Est-il venu te chercher ? Non, idiote. Mon amour... s'il n'étant pas parti rien de ce que je suis maintenant ne se serait produit. Pas de mari, pas d'enfants, pas de maladie... Ce sera la frustration amoureuse la responsable finale des maladies ? Mon grand amour ! Oui, que suis-je pour lui ? Une aventure pleine de mirages de jeunesse à l'âge adulte ? Attention à toi. Le mal d'amour ça fait mal. L'as-yu si vite oublié ?
J'aime mon mari, mais mon mari n'est pas si spécial  que Ramiro. Mon mari ne m'a jamais regardé comme Ramiro me regarde. Ramiro me regarde toujours aux yeux c'est chaud son regard !
 Ne te tompes pas encore une fois. Regarde,cette photo sur son bureau, ces 3 enfants.
À midi j'ai reçu la troisième radiothérapie, et encore une autreconsultation avec le Dr Abellaneda. Ça me fais plaisir de le rencontrer.
Lilian: Bonjour docteur!
Dr Abellaneda: Bonjour Lil, appelle-moi Ramiro s'il te plaît.
Lilian : D'accord. Pourquoi encore une consultation ?
Dr Abellaneda: Tu as toujours été très directe avec tes questions. Lil tu penses que tu as changé, mais tu continues d'être la même jeune fille qui m'a séduite .Et je continue d'être le même garçon lâche qui avait peur de ses sentiments.
Lilian : Ah, s'il te plaît, Ramiro. On ne va pas recomencer cette histoire.
Dr  Abellananeda: Tu seras toujours Lil pour moi. Je sais que tu me détestes parce que je t'ai abandonné, mais je n'ai jamais cessé de t'aimer. Je ne me suis jamais marié et je n'ai pas eu d'enfants. Pas de femmes dans ma vie. Toi seule.
Lilian : Ramiro, j'ai deux filles et je suis mariée. Arrête ! Tu n'as pas droit à me dire cela maintenant.
Dr Abellaneda: Je le sais et le regrette beaucoup, mais j'avais besoin de te le dire.

Je suis très  inquiète, je n'arrète pas de penser à Ramiro et mon mari s'éloigne chaque fois plus de moi et je ne sais pas pourquoi.
Sincèrement, je n'ai pas de forces pour continuer à écrire ce journal.

Samedi 3 octobre 2015.
Salut mon fidèle journal, ça fait déjà six mois que je ne te raconte rien de ma vie.
Maintenant ma vie est tout autre, tout a changé.
J'ai surpassé le cancer, mais j'ai perdu mon mari. Il souffrait des problèmes sérieux de cœur, il avait besoin d'une transplantation de cœur,  mais il ne m'a rien raconté  parce que j'étais tellement faible.
Mon mari savait qu'il allait mourir, son intervention était à  vie ou mort.
Quand il a su que mon docteur était Ramiro il s'est éloigné de moi. J'ai l'impression qu'il me laissait le champ libre. Je ne savais pas que mon mari faisait cela, mais il était chaque fois plus loin de moi et Ramiro de plus en plus près. J'ai commencé à sentir à nouveau l'amour intense que j'avais vers Ramiro.
Mon mari s'est rendu compte, j'étais déjà récupérée. Un matin je me suis réveillée et il avait laissé une lettre pour moi,  où il m'expliquait  ce qu'il allait faire.
Mario partit pour vivre ses derniers jours dans une petite maison dans « Los Montes de León ». Dans la lettre il me disait qu'il m'aimait beaucoup, et que je méritais d'être heureuse. Mario seul me demanda une chose, il voulait que ses filles ne l'oublient pas.
Ma vie a fait un tour  énorme, mais maintenant j'ai la vie que j'avais toujours imaginé, et je suis reconnaissante envers Mario par ce qu'il a fait.
Si je n'avais pas eu un cancer, je serait maintenant veuve et je n'aurais pas récupéré Ramiro.


Le plombier timide et le rechercheur curieux




Voilá l'histoire d'un plombier qui s'appelait Dómine. Il avait 28 ans. Il se construisait une grande maison. C'était une bonne personne mais il avait un défaut et ce n'était pas d'être timide, mais d'être un voleur des tuyaux pour se faire la plus belle maison au moindre prix.


Un jour, il y avait beaucoup de personnes au magasin de plomberie, et le vendeur avait installé des caméras de sécurité. Dómine ne s'était pas rendu compte et les agents de sécurité le surprirent en train de voler. Le vendeur appela un enquêteur privé qui s'appelait Florit. Florit parla avec Dómine, et Dómine demanda, pria, s'excusa afin que personne ne sache ce qui s'était passé. Dómine promit de payer tous les tuyaux volés immédiatement et qu'il ne volerait plus, mais le vendeur n'accepta pas.


Comment ? Est-ce que tu veux partir ainsi de quelque manière que ce soit. Ah non, non, et non.Où le prestige de mon magasin irait-il si j'accepte un chantage semblable ?



Bon, peut-être si nous publions des cartels avec une photographie d'Albert en volant sans qu'il ne soit connu trop...vous restez satisfaits et il aussi.
 
Une sentence et un fait. Albert plaça 25 cartels par la ville. Mais les habitants de la ville l'ont reconnu et durant une semaine, là où il allait, ils lui jetaient des tomates tandis qu'ils disaient :"Pour que tu recommences à voler, coquin maudit"

C'est ainsi comme la tradition a été instaurée de lancer des tomates aux voleurs au lieu de les envoyer à la prison dans Grospierres.

Álvaro Donaire Bravo

La bouchère Marie, le boulanger Koke et leurs amis





Faites silence, faites silence, c'est la queue du chat qui danse, quand le chat a dansé, quand le coq il a chanté, le silence est arrivé, mon histoire peut commencer.
 
Mon histoire commence le jour où des amis adolescents décidèrent de faire la fête ensemble. Les uns habitaient au village qui s'appelle Nord. Les autres habitaient au village qui s'appelle Sud. Et comme il n'y a rien de plus opposé que le Nord et le Sud, c'étaient, comme prévu, deux villages ennemis.

C'était la fête la plus importante de chaque village. Tous les ans un groupe de musique très célèbre jouait de la musique jour et nuit. Les jeunes comme les vieux dansaient, participaient aux concours de gâteaux et de sucreries, de viandes rôties et de petit pains au lait. Lequel de deux villages remporterait le prix? C'est une histoire qui ne finit jamais comme il faut. Les gagnants profitaient pour maltraiter ceux qui avaient perdu dans le bois qui se trouve au milieu des deux villages.

Le lendemain, c'était le tour de l'autre village pour remporter les prix. Chaque jury privilégiait toujours ses concitoyens. Mais, il y avait dans l'air comme un pressentiment que les choses n'allaient pas se passer comme prévu depuis la nuit des temps. Effectivement, le peuple Sud attaqua pour voler la nourriture aux habitants du Nord avec des armes et des voitures.

Marie, la bouchère, et Koke, le boulanger, qui s'attendaient à une trahison de ce type arrivèrent au champ de bataille bien munis de munitions: des navets, des pommes de terre, des laitues, des tomates et des melons.

Ils menaient une grande bataille. Les habitants du village du Nord récupérèrent leur nourriture et enfin ils célébrèrent la fête.

Je monte sur la queue d'une souris, elle fait tititi, et mon conte est fini.

Le professeur Angel et le policer David




Cric, crac, ah quel malheur, ma petite sœur est tombée dans le beurre.

C'étaient deux amis qui avaient étudié, quand ils étaient petits, à la même école. L'un était professeur, Angel, et l'autre était policier, David. David et Angel vivaient dans la même ville, Madrid.
Quelques samedis ils se donna rendez-vous pour sortir faire la fête.

Un jour Angel vit une fille assise dans la terrasse d'un snack-bar à lire un livre. Angel s'assoit à son côté et lui dis:

Quel est le titre du livre que tu lis?

Et à partir de ce moment-là ils commencèrent à parler, se promenèrent dans les rues jusqu'à tard dans la nuit. Chacun rentra chez lui, l'espoir dans le cœur, les rêves dans la tête.

Le lendemain matin, pendant qu'il courait, David rencontra une fille qui promenait un chiot dans le parc. Le chien se nommait Luky.

Quand le samedi arriva, Angel et David se raconter comme toujours. Angel ne raconta rien à David sur la fille qu'il avait connue il y a quelques jours, mais David lui avoua qu'il était tombé amoureux d'une fille.

Le hasard, qui aime jouer avec les hommes, les mit en situation difficile.Le jour arriva où David allait présenter la fille qu'il avait connu à Angel. Quand ils racontaient, Angel gêna Marie puisque c'était son amie. David fut agacé. Deux mois passèrent et Angel et David continuaient agacés et ils ne se parlaient plus, ne se donnaient pas rendez-vous les samedis.

Marie s'est rendue compte que les amis étaient fâchés à cause d'elle et essaya d'arranger la situation.

Un vendredi après-midi, Marie enverra un SMS à David et à Angel, simultanément. «rencontre cet après-midi au café du parc».
Quand Angel et David arrivèrent au café, Marie les attendait déjà.
En fait, la nuit arriva et les amis s'étaient déjà pardonnés.
Comme les sages ont dit, c'est une sottise d'être fâchés à cause d'une fille.
Tous les samedis, comme avant, ils se rencontrent mais, maintenant, tous les trois.
La nuit est venue, le coq a chanté et mon conte est terminé.

Guadalupe Durán Rodríguez

L'amort


Pour habiter en Russie, il faut avoir l'estomac fait au vodka. C'est la première phrase que j’entendis du secrétaire général du partie de l’opposition, Monsieur Raoul Mateos. Il me l'avait dite comme avertissement pour la classe de fêtes où je devrais aller. À ce moment-là, je ne l'avais pas bien compris ; mais, quand le temps passa, je compris à quoi il se rapportait. 
 
- Monsieur le juge, tout a commen un jour d'été quand je suis allée à ma société d'espionnage. Mon chef François m'a parlé d'un nouveau cas. Moi, à ce moment-là, j'étais très contente, parce que François avait confiance en moi. Le cas était très intéressant, je devais épier le secrétaire général de l'opposition de Russie, Monsieur Mateos. François m'annonça que je devais faire sa connaissance en profondeur et, si c'était possible, devenir sa petite-amie. Si j’en étais capable, la mission serait à moi. Après m'être renseignée sur sa vie personnelle, politique et professionnelle, on étudia un plan d'action. Personne d'origines pauvres, il était connu par sa générosité, sa disposition à aider n'importe qui en aurait besoin et aussi par son manque de confiance en soi, une certaine timidité et une torpeur pour les relations sociales. Des mots brusques, son impétuosité et la rudesse de son caractère faisait de lui une personne quelques fois intraitable. C'est pourquoi certains moyens de communication s'étaient mis à proclamer la méchanceté du personnage.On ne lui connaissait qu'une seule excentricité : il aimait assister aux défilés de mode et se faire accompagner par des mannequins avec qui il se promenait au centre de Moscou. Mais on ne savait rien de ce qui se passait entre lui et la fille choisie. C'est là qu'on trouva le fil pour tisser notre plan.

Quelques jours plus tard, François me téléphona, je devais aller une autre fois à la société. Mon chef m'annonça que Raoul, le Président de l'opposition, voyagerait en Espagne ce mois-ci pour travailler avec le président espagnol dans un projet commun. « Ça serait génial parce que j’irai en Espagne pour un défilé de mode, donc c'est possible le rencontre deux russes en Espagne, ça se rencontre naturellement, n'est pas-ça ? » C'est justement à ça que je pensais.
Donc je fus mon voyage en Espagne. J'arrivai à l’aéroport avant Raoul. J'avais de contact avec des personnes célèbres en Espagne, entre autres le consul de Russie à Madrid. Comme d'habitude, ils avaient prévu d'organiser une réception officielle pour la délégation russe et pour les entrepreneurs qui venaient de Russie à l'occasion du défile de mode. Moi, j'étais invitée, donc je pouvais rencontrer Raoul facilement. C'est lors de la réception officiel que j'ai profité pour l'inviter. Vraiment je suis restée bouche béante devant lui. C'était un bel homme. Il avait les cheveux marron chocolat, les yeux verts, féroces, mystérieux dont le regard intense t'attrapait .Il était très fort, il devait aller au gym.À ce moment-là, je pensai que j'avais de la chance. Raoul était séducteur et l’aventure s’avérait divertissante. Je jouai à mon tour pour le séduire. Le soir du défilé, il était là, dans la première rangée. À chaque fois que j'étais obligée de passer devant lui, il m'adressa des regards intentionnels et des beaux sourires, L'affaire marchait comme prévu. À la fin du défilé, Raoul m'attendait pour aller de tapas avec moi. Nous allions à El Bohio, un restaurant très connu de mon ami Pepe Rodriguez. Là on fut la dégustation de beaucoup de plats espagnols très connus, comme omelette ou les tapas de jambon.

Quelques mois plus tard nous étions en Russie, son pays. Là on faisait une vie normale bien qu'il était le Secrétaire Général du partie de l'opposition. Il me proposa de lui accompagner dans ses déplacements. Petit à petit, je commençait à découvrir l'homme gentil qu'il était et à m'oublier de la mission. Je n'avais qu'à informer les lieux où l'on allait.

Un jour de mai, je l'avais dis que je devais venir à Granada pour un défilé, un peu spécial, il me demanda de venir avec moi et j'étais ravie. Après le défilé comme étais d'habitude nous allions à « La Cueva de la Rocío ». Comme j'étais née en Espagne, je connaissait beaucoup la zone, je savais ce qu'on pouvait manger pour faire le stage et les soirées agréables. Il aimait le flamenco, en dans cet endroit il y avait un groupe de flamenco très connu appelée « Los Mayas». Quand on finnîmes de dîner, on alla à la plage parce qu'il y avait un éclipse lunaire. Il me raconta que dans l'antiquité les personnes croyaient que les éclipses étaient un mouvais signe. Certains civilisations croyaient que le soleil était dévoré par un animal, comme le loup ou un dragon. Les personnes du peuple pensaient que l'unique façon de libérer le soleil de la bête était de faire comme s'ils étaient fou. Donc, les gens faisaient des bruits très étranges appelés hollabaloos pendant qu' ils dansaient. Ils faisaient cela jusqu'à ce que le soleil fut libéré de la bête. Dans d'autres peuples pensaient que l'éclipse était signe des maladies et de mort. Dans l’Amérique du Sud croyaient qu'un soleil caché était le responsable de la variole et des maladies de provenance espagnole. Je le regardais très fascinée. À mon avis il était tellement beau quand il me parlait de choses que sa mère lui avait enseigné, que j'avais l'impression de l'aimer. Je lui dis que mon grand-père m'avait racontée que chez les Scandinaves avaient à peu près les mêmes idées. La Lune et le Soleil, Mane et Sunna, qui sont le frère et la sœur, marchent vite, poursuivis par deux loups terribles prêts à les dévorer. Le plus redoutable est Managarmer, monstre qui s'engraisse de la substance des humains approchant de leur fin, mange parfois la Lune, et répand du sang dans le ciel et dans les airs (allusion à la teinte rouge noirâtre de la Lune pendant les éclipses totales).

Le ciel était totalement rouge avec de tons oranges et dorées, l'éclipse était en train de finir. À ce moment-là quelqu’un arriva rapidement, sortit un pistolet et lui tira deux coups de feu dans la tête. J’étais très effrayée, je ne savais pas quoi faire, je le secouais très fort et aussi je l’appelais très doucement, mais il ne répondit plus. J’appelai à l'hôpital.
Avant que l'ambulance arrive, il y avait plusieurs paparazzis. Ils me criaient : « Qu'est-ce qui s'est passé ? Il est mort ? Est-ce c'est que vous l'as tué ? » Je n'étais plus capable de leur répondre. Les médecins arivérent. Ils s'occupaient de Raoul. La police arriva aussi. Je fus arrêtée. J'étais sur le choc, je ne comprenais rien à ce qui m'arrivait. "C'était ça qu'ils voulaient", je le répétais peut être à haute voix. J'étais complètement déboussole. Je n'étais plus capable d'articuler aucun mot. Plus j'essayais de parler avec les psychologues, aucun personne était capable de me calmer. L'amour de ma vie était mort. J'étais en train de téléphoner à François, mon chef, quand la police arriva. D'abord ils demandâmes voir le corps froid de Raoul. Une femme s’approcha de moi.C'était monsieur Arias police nationale. Elle me demanda le témoignage de la mort de Raoul je ne fus capable d'articuler un seul mot. Monsieur Arias décida alors de m'emmener à l'hôtel. Je prena une douche chaude. Tout à coup je me rapelais de tous qu'avait passé dans la plage. Monsieur Arias me posait des petites questiones sur la mort de Raoul et notre vie en général. L'unique chose que je le dis ce qu'il devait faire avancer l’enquête le plus rapidement possible.

Pendant que je me douchais, j'avais compris l'important que c'est la vie. La seule chose qui comptait finalement c'est qu'on avait vécu et les personnes avec qui on avait vécu. La mort est derrière nous, elle attend quoi que ce soit pour venir nous chercher. Raoul était mort. Je ne verrai plus son sourire les dimanche matin, je n'écoutera plus sa douce voix quand il revenait du travail, je ne sentirai plus son parfum quand il m'embrassait. « Qu'este-ce que je vais faire maintenant ? » C'est à cela que je pensais, monsieur le juge.

Le téléphone sonna pendant que je réfléchis sur ma vie, sur mes souvenirs, sur les moments passés avec Raoul. Monsieur Arias téléphonait, la police, me voyant peut-être plus tranquille, elle me montra une lettre que je devais lire La lettre m'était adressée. Je l'ouvris et rapidement compris que c'était une lettre de Raoul. Je vais vous la lire.

« Ma petite:
Je le regrette beaucoup mais il fallait te le raconter et j’attendais le jour de ma mort pour te le dire. Pas trop courageux devant toi, tu vois. Je n'avais pas de force pour te le dire en personne, donc si tu as reçu cette lettre c'est parce que je serais déjà mort.

Quelques mois auparavant, plus ou moins quatre mois, j'étais dans l’hôpital pour une révision quotidienne mais les médecins m'ont annoncé que j'avais une grande lésion dans l'estomac parce que j'abuse trop du vodka. Mon état de santé était irrémédiable, le cancer s'est rependu dans tout mon appareil digestif. J'avais visité tous les médecins possibles mais personne ne m'a donne d'espoir. C'est à ce moment-là que tu es entrée dans ma vie. C'est alors que tu m'as donné un motif pour continuer à vivre, pour me réveiller tous les matins. Je sentais que je pouvais faire quelque chose, mais j'avais besoin d'une drogue, la douleur était immense. La marijuana n’était plus capable de me calmer. La seule solution était de chercher de la morphine.

La douleur augmentait de plus en plus chaque jour qui passait, je ne pouvais plus me passer des drogues. Tous les chemins que je pouvais prendre était baignés de sang et de douleur. Je suis entre le marteau et l'enclume. Je sais que je vais mourir mais, si j'avais pris les décisions correctes, maintenant peut-être ma vie, ne pendrait pas à un fil Si je n'avais pas contacté avec la maffia, je suis totalement sur que je serais maintenant avec toi, je ne serais pas mort. Je sais que je n'a pas su apprécier les meilleurs moment de la vie. Je ne savais pas que l'amour puisse avoir un tel pouvoir, t'enlever de la vie réelle et te transporter à des régions inconnues.

Quand on sommes amoureux, on faisons des folies. Je crois que c'est pour ça que j'avais cherché de la morphine, pour passer plus de temps avec toi. Maintenant je me rendrais compte que la vie est un privilège, et que quand tu avait arrivé à la fin c'est déjà trop tard pour réparer tellement d’années.
Merci pour la c'est deuxième opportunité que tu m'es donné. »

Voilà monsieur le Juge. Qui l'a tué, je n'en sais rien, et j'aimerais bien le savoir. L'organisation, pour laquelle je travaillais, cherchait à être informée de ces allées retours. Pour l'éliminer ? Je n'y ai jamais pensé. Je ne me serais jamais offerte à ce jeu. Quel était mon rôle ? C'est-ce que je me demande jour et nuit. Si c'était moi la responsable... ce sera affreux. Je ne pourrais plus vivre avec ce poids sur ma conscience. Être complice de la mort de qui j'aimais le plus. Ah, non, ça non !